16 JAZZ, (s) BLUES, (s) SOUL (s)

Contient : "Seven nation army" ; "Soulman" ; "Petite soeur" ; "Mon amour" ; "Elle me dit" ; "I don't wanna waste" ; "Come home" ; "L'ombre d'un homme" ; "Ain't off to the back" ; "Lise" ; "Demain j'arrête" ; "Partir" ; "Lose it" ; "Back for you".

Contient : "Rolling in the deep" ; "Rumour has it" ; "Turning tables" ; "Don't you remember" ; "Set fire to the rain" ; "He wont go" ; "Take it all" ; "I'll be waiting" ; "One and only" ; "Lovesong" ; "Someone like you".

Contient : CD1 : "Rehab" ; "You know I'm no good" ; "Me & Mr Jones" ; "Just friends" ; "Back to black" ; "Love is a losing game" ; "Tears dry on their own" ; "Wake up alone" ; "Some unholy war" ; "He can only hold her" ; "Addicted".
CD bonus : "Valerie" ; "Cupid" ; "Monkey man" ; "Some unholy war" ; "Hey little rich girl (feat. Zalon & Ade)" ; "To know him is to love him" ; "Love is a losing game (original demo)"

Le voilà enfin, l'album que des millions de personnes attendaient... Et il s'intitule tout simplement 25. Depuis son dernier single, l'oscarisé Skyfall (sur la b.o du James Bond du même nom), Adele s'était éclipsée de la scène musicale pour se recentrer sur sa famille loin, très loin des projecteurs. La rareté, une notion qui semble superflue pour une artiste d'aujourd'hui, est intrinsèque depuis les débuts d'Adele.

Entremêlant avec une rare subtilité country, folk, rock, soul et jazz, Norah Jones (la fille de Ravi Shankar) apparaît plus que jamais comme l'artiste actuelle exprimant le mieux la richesse et la diversité de la musique américaine. Si ce disque ne peut manquer de faire penser à Come away with me, il est indéniablement l'oeuvre d'une femme qui a mûri et s'est considérablement aguerrie dans la pratique de son art. La musicienne est cette fois accompagnée par de véritables légendes du jazz comme le saxophoniste Wayne Shorter, l'organiste Lonnie Smith et le batteur Brian Blade, déjà présent sur son premier disque et dont le jeu constitue l'épine dorsale de l'album.