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Six ans après Ilo Veyou, l'artiste est de retour avec un disque profondément contemporain mais aux racines si anciennes qu'il devient l'incarnation sonore de l'intemporalité. Onze chansons qui soignent et possèdent la vertu de calmer les esprits. Mais sans ignorer le terrain exutoire dans lequel elles ont été aussi pensées : celui de la ferveur collective des grands bals de danse traditionnelle.

"Je me suis promis d'enlever toutes les barrières, musicalement, et de me faire confiance un petit peu plus. Voire totalement." Une promesse que Patrick Fiori relève avec brio sur cet album : outre sa collaboration avec son ami de longue date Jean-Jacques Goldman, Patrick a invité Icare à lui écrire un titre, mais également Soprano et Slimane pour deux duos. Particulièrement impliqué dans l'écriture et la composition, il confirme avec cet album son envie de "garder sa place dans la chanson française".

Ces seize chansons invitent à trembler, à rêver et à imaginer...

Bercée par Brassens, Moustaki, Barbara..., émerveillée par la langue française, amoureuse des mots, Leïla Huissoud taquine sa vie de jeune fille avec la pointe de son stylo. Dans le clair-obscur de la salle, on entend ses doigts glisser sur le manche de la guitare, son souffle s'accélérer et une fois que son regard est posé, l'urgence de la sincérité.

Les voyages en voiture sont souvent bien longs pour les petits, comme pour les mamans et les papas. Ce CD propose l'histoire du voyage de Petit Ours Brun qui demande si on est arrivé, qui n'a pas du tout sommeil, qui s'arrête pour le goûter, renverse sa gourde, s'ennuie dans les embouteillages... et découvre une surprise à la fin du voyage. Il propose également d'écouter et de chanter des chansons sur tous les sujets qui touchent l'enfant pendant le voyage : les panneaux, les bouchons, les nuages, les camions, la nuit, et l'étoile qui a filé lorsque l'on ferme les yeux. Histoires, chansons, musique, jeux marquent et rythment le voyage. Invitation au sourire, à l'observation, à la fête, au rêve et au calme. L'ensemble est rythmé par des propositions de petits jeux d'observation à destination des parents au sein d'un livret complet. Un programme de quatorze chansons et une histoire de Petit Ours Brun.

Ce 13ème album studio est réalisé conjointement par Nicola et Oli de Sat. Pendant plusieurs mois, les pièces du puzzle de ce disque, le plus mystérieux et le plus envoûtant d'Indochine, s'assemblent. Quelques invités prestigieux participent à cet opus en tant que co-auteurs, interprètes ou co-compositeurs. Le mixage s'est fait à Los Angeles dans le studio personnel de Mick Guzauski (Daft Punk, Pharrell Williams, Jamiroquai, Talking Heads) et le mastering a été fait par Chab (Daft Punk, Air, Kavinsky, Woodkid... ). Erwin Olaf, un des plus grands photographes contemporains, a réalisé la pochette.

Entremêlant avec une rare subtilité country, folk, rock, soul et jazz, Norah Jones (la fille de Ravi Shankar) apparaît plus que jamais comme l'artiste actuelle exprimant le mieux la richesse et la diversité de la musique américaine. Si ce disque ne peut manquer de faire penser à Come away with me, il est indéniablement l'oeuvre d'une femme qui a mûri et s'est considérablement aguerrie dans la pratique de son art. La musicienne est cette fois accompagnée par de véritables légendes du jazz comme le saxophoniste Wayne Shorter, l'organiste Lonnie Smith et le batteur Brian Blade, déjà présent sur son premier disque et dont le jeu constitue l'épine dorsale de l'album.

Là où son précédent opus 33 ans, en proposant un voyage à travers les âges charnières de la vie, avait tout d'un album concept, La femme idéale est, plus simplement, un recueil de chansons. Des chansons qui regardent à l'intérieur comme à l'extérieur de leur auteur. Des histoires de cadeaux magnifiques et de petits cailloux dans la chaussure. En démaquillant la femme idéale, en sublimant l'amour quotidien, en glorifiant les sauts dans le vide, Ben Mazué tire en quelques titres, et sans doute avec plus de sincérité que jamais, le bilan d'un premier tiers de vie.

Montreuil / Memphis, ça suinte un peu le blues et les guitares grasses, c'est des histoires de gens, des morts et des vivants comme y'en a plein les rues, à Paris, à la Nouvelle-Orléans, à Montreuil, à Memphis...

Habile mélodiste, faiseur de portraits, les chansons ciselées du jeune musicien naviguent entre humour, tendresse et révolte. Leprest, Souchon, Renaud mais aussi Dylan c'est sa dope à lui. Il les a respirés si fort dans la bagnole de son père qu'il en a imprégné l'âme de ses chansons. De ses aînés, il a capté le sens de l'humanité. La fraternité. Pour le reste, il s'est débrouillé comme un grand. Quand il dégaine ses chansons de circonstance, guitare en bandoulière, Gauvain touche par la précision de son verbe et la sincérité de son interprétation.

Sobrement présenté dans une pochette carton, cet album est le recueil de dix chansons écrites puis mises en musique au cours de l'année 2014, ainsi que deux reprises de Michèle Bernard et Pierre Louki. C'est une chanson sobre, où la voix prime, sans effet ni artifice, pour en laisser entendre d'avantage, pour rester libre, pour préserver la sensibilité de l'auditeur.

Dès la première écoute, vous serez conquis par ce disque éclectique et riche qui s'appuie pour moitié sur des reprises des plus beaux chants traditionnels de Noël de Didier jeunesse comme Neige blanche, La notte di natale interprétées par de délicieuses voix d'enfants ou encore la berceuse polonaise Lulaze, Jezuniu.

Onze ans après sa victoire à Nouvelle Star, il signe un album en adéquation totale avec ce qu'il est, ce qui lui tient à coeur et surtout ce qu'il pense. Dès l'écoute de son premier single Marlon Brando, Christophe sait donner le ton avec un titre fédérateur, solaire, dansant et foncièrement humain. Ce disque présente donc un nouveau Christophe Willem. Le changement se ressent par son côté lumineux, frais et vivant. Christophe propose des titres optimistes, même s'il n'hésite pas à mettre le doigt sur des sujets sensibles.

Cet album a été enregistré en octobre 2016 à l'AccorHotels Arena et mixé par Bob Clearmountain.

Une menace pèse sur le Royaume des Nuages Roses. Son jeune Prince a perdu le sommeil. Pour le retrouver il devra partir en quête d'un remède, loin de son palais. En chemin, il rencontrera des personnages incroyables, des dangers, de la magie et la musique qui sait apaiser les âmes troublées...

Il est composé de 15 morceaux, poèmes et chansons, qui, comme le titre de l'album l'indique, ont pour thèmes les mots. Les mots qui peuvent blesser mais surtout les mots qui soignent, qui font grandir, les mots d'amour et d'amitié, ceux qui permettent de construire des ponts entre les gens plutôt que des murs... baignant dans un univers féerique propre au conteur, les styles musicaux des chansons varient entre balades, country, jazz et voix se mœlent et apportent à ce disque, une touche de magie supplémentaire.